sur le bateau ivre

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Je M'appelle Sylvain et je vis à Paris.
mon email : sylvain-paris@hotmail.fr

J'écris des poèmes, des contes et des livres.
Je suis poète, écrivain, écorché vif,
ancien brigand et taulard, et je vous salue !

On m'a dit que j'ai du talent pour écrire.
A vous de juger, je vous fais confiance !

J'ai presque fini mon autobiographie.
Ceux qui l'ont lu ont pleuré.

Victime d'actes de barbarie dès 4 ans
de la part de ma mère et de viols
de la part de mon encadrement scolaire,

que Dieu pardonne ma mère,
la société et la justice..

Je ne vous ferai pas le plaisir
de cracher sur vos tombes..

 

 
Petit, j'étais innocent, rieur 
et je ne savais pas
ce que la vie me réservait ...




Puis jugé majeur à 15 ans pour payer
mes larcins par la justice, et SDF,
j'étais rebelle à tout
et bientôt
un taulaurd célèbre pour la postérité !


A mes 52 ans, je suis récemment
passé sur un plateau de télé
pour raconter une partie de ma vie.
Enfer et Paradis...

 

Je suis touché à vie par le Syndrome

de Stress Post Traumatique, acquis lors

de mon enfance, le Syndrome

des anciens combattants du Vietnam,

et par une dépression suicidaire.

 

 

Mon père m'a dit un jour enfant

que je finirai sur l'échaffaud.

Je suis pourtant toujours vivant.



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Un jour, un jour prochain,

je partirai à la poursuite de
Corto Maltese, loin, loin, très loin...

 

Encouragez-moi à écrire
en vous inscrivant sur ma Newsletter !

 



 

 

 

 

Première page du livre autobiographique de Sylvain

 

Il était une fois un enfant qui naquit comme les autres enfants : du ventre de sa mère. On le fit naître, mais pour quelle raison ? dans quel but ? et de quelle façon ? Il était le produit d'une éjaculation dans la matrice de sa mère. La raison en fut l'accouplement et le plaisir normalement institué par l'amour, à moins qu'il n'y ai eu l'amour de cet acte de copulation. Le but sans doute de donner la vie afin de préparer le bonheur libre de cet enfant. A moins qu'il fut de prendre une vie, au lieu de la donner.
Une vie qui n'aurait eu d'importance que par sa possession afin d'en disposer comme d'un objet sans liberté propre. Dans ce cas la vie est une production, un élevage, au même titre qu'on élève des veaux pour l'abattoir.
L'enfant à naître est destiné à la consommation par des parents vampires ou cannibales, il ne sera qu'une nourriture pour tous ceux qui s'en nourriront. Et Dieu sait que les Ogres sont avides de chair fraîche et innocente.
Voulez-vous que je vous raconte les souvenirs d'un petit Poucet dans la maison des Ogres ?
Ce récit, chers lecteurs et lectrices, n'est pas un réglement de compte. Ni une oraison funèbre à la haine. Il est un hymne à l'amour, car son abscence dans une vie laisse sa formidable puissance. Le véritable enfer n'est pas tout de souffrir durant des évènements de sa vie si l'on a tété le lait de sa mère et qu'elle vous a forgé une confiance réelle en vous, mais il est de naître et de grandir sans aucun repères d'amour dans le vide affectif le plus complet.
Et gare ! mes petits enfants chéris, vous qui serez les délinquants, les drogués, les criminels, les alcooliques, les fous, les martyrs, les laissés pour compte, les putes, un monde attend pour se nourrir de vos plaies, les exploiter, les cultiver, s'en moquer, et en vivre.
Un monde de prédateurs du malheur, qui sont autant de policiers, de magistrats, d'assistantes sociales, d'éducateurs, de familles d'accueil, de médecins, de journalistes, de politiques, de professeurs, de directeurs de pensionnats, de gardiens de prison, et de tout ce qui satellise la grande machine impératrice de vos traumatismes.

 

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Sylvain a été l'objet de violences, actes de tortures et de barbaries et viols de l'âge de 4 ans à l'âge de 15 ans par sa mère et son père et par les enfants et l'encadrement scolaire. A ses 12 ans, mon père le met en internat et recommande au directeur du lycée de battre Sylvain en prétextant que c'est un cas spécial. Ainsi Sylvain sera le seul élève battu de son lycée car les cadres scolaires du lycée ont l'autorisation des parents. Ils ne vont pas s'en priver. Ils vont même en plus le violer par deux fois. A 15 ans Sylvain est émancipé par le juge car il commence à faire du stock car avec des autobus volés à sa ville sur l'autoroute et dans Paris. Il fera 190 gardes à vue dans sa vie, fera 5 ans de prison pour des petites peines, et sera SDF dès l'âge de 15 ans, où il couchera dans les caves des HLM, jusqu'à l'âge de 40 ans où il couchera dans les maisons en démolitions. Sylvain a attrappé l'Hépatite C en prison, celle dont on ne guérit pas. Et ses souffrances ont produit chez lui une altération définitive de son cerveau. Il est atteint de plus du même syndrome que les combattants du Vietnam : dépression suicidaire et Syndrome de Stress Post traumatique.
Sylvain n'a pas fait d'études. Il s'est arrêté en classe de sixième, et a étudié la littérature en prison où il était souvent chargé de la bibliothèque.
Lors de son premier emprisonnement à l'âge de 15 ans, le directeur de la prison où il séjournait était l'amant de notre propre mère. Nous les avions surpris en ville à s'embrasser. Sylvain le savait. Le directeur est venu le voir bun joour dans sa cellule. Le directeur ignorait tout, et a regardé Sylvain avec pitié et commisération. Il savit que Sylvain était le fils de sa Maîtresse.
La boucle était ainsi bouclée : père, mère et amant directeur étaient ses tortionnaires ou geoliers en pleine adolescence.
A son deuxième emprisonnement, alors que j'avais 18 ans (je suis son frère) et lui 16 ans, je montais avec lui un plan pour le faire évader de prison. Je fus arrêté par la police mais relaché par manque de preuves. Solidarité dans le malheur...

 

Quand son livre sera édité, vous connaitrez tous les rouages et secrets de la police et de la justice.... Et vous irez plus loin, bien plus loin que les combattants du Vietnam dans l'échelle de l'horreur. Que Sylvain soit capable d'écrire sur sa vie et de parler d'amour est une des preuves que l'être humain est capable du pire, comme du meilleur. Et que rien n'est joué encore...
C'est à vous de décider...